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Injections et chirurgie esthétique : par ou je commence

Injections et chirurgie esthétique : par ou je commence ?

Avant de se lancer, voici ce qu’il faut savoir.

Ride du lion ou sillons, manque d’éclat ou de fermeté, ovale flou… les signes de l’âge s’installent progressivement selon une chronologie remarquée par les experts, du haut vers le bas du visage.
Pour autant, nos ne réagissons pas toutes de la même façon à leur apparition. La jeune femme qui découvre sa première ride voudra qu’elle disparaisse. La femme plus mature sait qu’une ride n’est pas si dramatique et traquera plutôt le relâchement.

Une question d’âge alors ?

Pas seulement. Le vieillissement dépend plus de la morphologie et de facteurs extérieurs comme le milieu social, le poids, l’alimentation. Surtout, sa perception est très variable. Certaines trentenaires consultent par prévention, convaincues des bénéfices de la médecine esthétique sur leur mère, superbe, quand des quadras freinent des stilettos par peur de ressembler à une tante ou à une amie qui en fait trop. A tout âge, on voit des femmes venir pour un premier traitement .
Ce qui les gêne ? 80 Ù se plaignent d’une expression négative : fatigue, tristesse, sévérité ou anxiété. Dans un visage, il y a toujours une zone de fragilité prioritaire…

La qualité de la peau

On s’en soucie à tout âge, un bon réflexe. Les jeunes femmes qui sortent beaucoup ou viennent d’avoir un bébé déplorent leur air fatigué alors qu’elles se sentent en forme. Elles se rendent compte que leur peau change, qu’elle n’a plus la même densité, surtout après le bouleversement hormonal.
Leur demande : avoir bonne mine. Même préoccupation chez les quadras contrariées par leur image dans le miroir, surtout quand elles ont abusé du soleil ou de la cigarette. Quant aux quinquas, peu s’habituent au manque de fermeté et d’éclat de leur peau. A chaque problématique sa solution ciblée.

Parfois, les médecins combinent les techniques : peeling superficiel à l’acide glycolique pour dégriser un teint terne et resserrer les pores ; multi-injections superficielles d’acide hyaluronique non réticulé parfois associé à des vitamines (mésothérapie) pour repulper une peau déshydratée ; laser pour dégommer des taches isolées… Sans oublier le traitement cosmétique de fond prescrit par le médecin, crème aux acides de fruits (AHA), à la vitamine C ou à la vitamine A acide : plus costaud qu’un soin anti-âge lambda, à suivre pendant trois à six mois pour restaurer ou maintenir une belle qualité de peau.

Le front
Ce qui gêne le plus souvent ?

Cette fameuse ride du lion fichée entre les sourcils qui donne l’air sévère ou anxieux. Si elle se marque au fil des années et dérange autour de la quarantaine, elle peut s’installer dès 30 ans chez des personnes très expressives.
La parade ?
Une injection de toxine botulique pour relaxer les muscles responsables de ces rides d’expression. A partir de 35 ans, le médecin traitera aussi les rides horizontales et la région du sourcil pour bien ouvrir le regard. Quand on est réfractaire à la fameuse toxine, une injection d’acide hyaluronique peut combler la cassure de la peau, mais le résultat ne dure pas plus de quatre mois puisqu’on continue de froncer les sourcils.

Le contour des yeux

Dans cette zone hyper mobile, la peau très fine se marque facilement. Passé 30 ans, une femme sur deux se dit préoccupée par son contour de l’oeil. Il n’est pas rare qu’une jeune femme consulte pour ses cernes colorés, pour lesquels le médecin ne peut rien.
En revanche, il les comblera avec de l’acide hyaluronique injecté en profondeur quand ils sont creux. Une intervention délicate réservée aux pros de l’injection. Vers 30/35 ans, les femmes viennent aussi pour des détails, comme une petite fripure au niveau de la paupière inférieure qui leur donnera l ai fatigué.  Des séances de mésothérapie peuvent atténuer ces fines ridules. 

Les rides de la patte-d’oie ?

On s’en soucie autour de 40 ans, rarement après 50. Ce sont des rides du sourire. Une injection de toxine botulique va les diminuer, et repositionner un sourcil qui tombe un peu. On peut aussi lisser ces ridules avec un laser fractionné qui stimule la production de collagène, donc redensifier la peau. Quand les paupières supérieures tombent ou qu’on ne supporte plus ses poches, seule une chirurgie rajeunira le regard, à partir de 45/50 ans.

Le milieu du visage

Passé 40 ans, c’est l’objet de toute notre attention. Et on consulte d’abord pour se débarrasser de sillons nasogéniens marqués, il est alors conseillé de les injecter. Pourtant, petit à petit, on ne voit plus que ça dans le miroir. C’est parce que les tissus situés au-dessus ont glissé, ce qui les alourdit. L’idée est d’injecter de l’acide hyaluronique au niveau de la vallée des larmes, des joues et des pommettes pour les atténuer.
Quand le visage s’est émacié, la restauration des volumes est le traitement phare de « l’air fatigué » : elle consiste à injecter un produit volumateur pour compenser la fonte de graisse au niveau des pommettes et des joues et retrouver ainsi une bonne structure de visage.

La bouche

Même quand une jeune femme a très envie de lèvres plus pulpeuses, elle consulte rarement pour ça, car elle craint de se retrouver avec une grosse bouche. Celles qui ont les lèvres fines de leur mère passent parfois le cap. Le médecin redessine l’ourlet avec de l’acide hyaluronique, en injecte un peu dans le vermillon pour réhydrater les lèvres, ou un peu plus pour les augmenter. Passé 40 à 45 ans, c’est le dessus de la lèvre supérieure et ses ridules qui contrarient fumeuses, championnes de la mimique et fans de bronzage. Pour défroisser ce « plissé soleil » ou « code-barres », le médecin a le choix entre injecter une faible dose de toxine botulique ou un acide hyaluronique très fluide et peu hydrophile pour éviter un résultat bombé peu naturel.

Quand les ridules sont fines et peu nombreuses, le réourlage de la lèvre à l’acide hyaluronique peut suffire à les atténuer. Si elles sont plus marquées et nombreuses, un peeling moyen à l’acide trichloracétique (TCA) ou un laser fractionné est plus radical si on accepte cinq à huit jours de cicatrisation. Et quand le coin des lèvres s’affaisse, ce qui donne l’air triste, la solution passe par un comblement à l’acide hyaluronique pour redresser chacun d’eux et positiver l’expression.

Le bas du visage

Il commence à nous obnubiler vers 45 ans. Il n’y a pas plus énervant que ces petites bajoues qui s’installent ou cet ovale qui se floute. Pour restaurer une bonne densité de peau, les médecins proposent des traitements à effet tenseur dit de « skintightening » avec des appareils de radiofréquence ou de lumière intense pulsée (IPL), des lasers de réjuvénation (de type Nd-Yag) ou fractionnés.
Pour que la peau continue de fabriquer du collagène, il faut chauffer et stimuler. Ce sont des traitements au long cours, la peau redevient plus costaude. Ce n’est pas que de la prévention, on voit l’amélioration au niveau des fines ridules et du froissement des joues. Autre technique pour contrer la perte de fermeté et préserver l’ovale ? Les injections maîtrisées de produits volummateurs qui freinent le relâchement des traits. S’il n’y a pas un excès de peau important que seul un lifting facial corrigera.

Le décolleté et le cou

Quand on a abusé du soleil, le décolleté se fripe et se tache dès 40 ans. Le laser va traiter les taches installées, les séances de mésothérapie (acide hyaluronique faiblement réticulé) réhydrateront bien la peau, en complément d’un traitement cosmétique éclaircissant au long cours et d’une protection solaire carabinée. A partir de 40 ans, c’est malin de freiner la perte de densité de la peau de cette zone fragile : plusieurs séances de radiofréquence, de laser de réjuvénation ou de laser fractionné vont chauffer la peau et stimuler la production de collagène.

Et le cou ?

On peut consulter un chirurgien pour le retendre, vers 55/60 ans, sans avoir jamais rien fait pour ses rides. Le plus souvent, il proposera un lifting cervicofacial pour redessiner aussi l’ovale. Le lifting du cou seul s’envisage quand on a fait des injections pour maintenir une bonne structure de la partie moyenne du visage ou quand on a déjà fait un lifting facial. Une injection de toxine botulique peut atténuer des cordes platysmales marquées, souvent chez une femme mince.

Comment trouver le bon spécialiste ?

Vous ne connaissez personne et votre médecin traitant n’a aucune piste à vous donner ?

Pour une intervention chirurgicale consultez un chirurgien et vérifier ses compétences en chirurgie plastique et esthétique au Conseil de l’ordre des médecins

Pour un acte de médecine esthétique (injections, peelings, lasers), consultez un médecin compétent dans ces domaines.

Médecine esthétique : ce qu'il faut savoir avant de se lancer

Médecine esthétique : ce qu’il faut savoir avant de se lancer

Médecine esthétique : vous n’avez pas encore sauté le pas, mais vous n’en êtes pas loin?

Médecine esthétique : ce qu'il faut savoir avant de se lancerLe Centre Laser Longchanp, fait le point sur les principes à maîtriser avant de se lancer.
En médecine esthétique, la première consultation est cruciale, car elle permet d’établir le diagnostic.

Quelles sont les différences
entre médecine et chirurgie esthétique ?

La médecine esthétique rassemble les techniques peu invasives réalisées en cabinet : les injections,  les lasers et les peelings sont les plus utilisées.

La chirurgie esthétique,
elle, englobe toutes les procédures (lipoaspiration, lifting, etc.) opérées avec un bistouri ; elle est pratiquée en bloc opératoire en clinique par des médecins spécialisés.

Par quelle intervention de médecine esthétique commencer et à quel moment ?

La réponse est individuelle. On commence à y penser lorsque l’on n’apprécie plus son image. Cela peut arriver dès 30 ans. Et ce n’est pas forcément pour paraître plus jeune! On cherche parfois à atténuer des expressions de colère, de fatigue ou de sévérité. Les réponses sont nombreuses.
Un teint terne parsemé de taches peut être traité avec un peeling ou un laser. Les rides marquées, comme les rides du lion (entre les yeux), le sillon naso-génien (de part et d’autre du nez), les plis d’amertume (de chaque côté de la bouche) peuvent être adoucies par des injections.

Comment s’assurer que les appareils et les produits sont inoffensifs ?

Les peelings sont pratiqués depuis plus d’un siècle. Accomplis par des mains entraînées, ils sont parfaitement fiables.
On possède aujourd’hui un recul de plus de vingt ans sur certains lasers (vasculaire, pigmentaire ou fractionné – ce dernier laser de rajeunissement cutané qui abrase l’épiderme en laissant des zones de peau saine pour une récupération plus rapide). Ces appareils doivent présenter le marquage CE.

L‘acide hyaluronique est- il un produit sûr ?injection botox toxine botulique nice

C’est l’un des produits les plus populaires de ces dernières années, au point qu’on l’utilise sur l’ensemble du visage. Il a très bonne réputation, car il est naturellement présent dans notre corps. En pratique, ce sucre se combine à l’eau présente dans la peau pour combler les rides et restaurer les volumes. Il est rassurant, car il se dégrade rapidement: entre douze et vingt-quatre mois selon sa viscosité.
La plupart des médecins déconseillent d’ailleurs, par sécurité, l’usage de produits non résorbables qui restent dans le corps et peuvent entraîner des complications des années après l’injection.

Aujourd’hui, on utilise des substances de synthèse, très peu allergisantes, dotées d’un marquage CE qui garantit leur sécurité. Une vingtaine d’acides différents sont disponibles en France. N’hésitez donc pas à poser des questions au médecin.

Quelle est l’action de la toxine botulique ?

On la connaît bien: c’est un produit relaxant, qui diminue la contraction musculaire là où il est injecté… et, donc, les rides. Son effet est moins durable que celui de l’acide hyaluronique: il est d’environ cinq à six mois. On l’injecte le plus souvent pour corriger les rides du tiers supérieur du visage, sur le front. Les médecins expérimentés l’utilisent aussi dans le pourtour des lèvres, le cou, etc. Les complications sont rares et réversibles.
C’est un médicament. En France, les médecins autorisés (ORL, Ophtalmologistes, dermatologues, Chirurgie Plastique, Chirurgie de la Face) doivent utiliser l’un des trois produits possédant une autorisation de mise sur le marché [AMM] : Vistabel, Azzalure ou Bocouture.

Demandez toujours à voir le produit avant son injection et discutez avec le médecin à propos de chaque zone de votre visage. C’est le premier pas pour obtenir un résultat subtil.

Quelles questions faut-t-il poser au médecin avant de se lancer ?

La première consultation est cruciale, car elle permet d’établir le diagnostic. C’est le moment de poser toutes les questions que vous souhaitez. Si le montant de l’acte est supérieur à 305 euros, le médecin doit vous remettre un devis, que vous signerez le jour de l’intervention, ainsi qu’une fiche d’informations.
Elle précise tous les détails: les caractéristiques du produit ou de l’appareil utilisé, les précautions à prendre avant et après l’intervention, les suites du traitement, les complications potentielles, la durée du résultat, etc.

Doit- on modifier ses habitudes cosmétiques à la suite de ces interventions 

Bien sûr! Direction la parapharmacie, pour faire le plein de produits, notamment pour faciliter la cicatrisation. Le médecin peut aussi prescrire des cosmétiques précis: des anti-âge spécifiques, une protection solaire…

Le résultat

Si le médecin vous a bien expliqué le résultat que l’on peut attendre, il n’y a aucun risque d’être déçue. Une consultation est souvent prévue quelques semaines après l’intervention. S’il y a des retouches à faire, il les réalise gratuitement.

Voila maintenant vous êtes « armés » pour décider et choisir la technique esthétique qui vous conviendra le mieux en discutant avec votre médecin.

Epilation laser VS épilation lumière pulsée : quelle technique choisir ?

Epilation laser VS épilation lumière pulsée : quelle technique choisir ?

Epilation laser VS épilation lumière pulsée :
quelle technique choisir ?

Epilation laser VS épilation lumière pulsée : quelle technique choisir ?Ces deux techniques d’épilation sont des actes médicaux et doivent être obligatoirement réalisées par des médecins qui sont seuls habilités et formés à faire des actes d’épilation (autre que la cire ou la pince) d’après la loi française.

Épilation au laser

Le laser est une technologie utilisée depuis plus de 20 ans et qui a donc fait ses preuves. Il s’agit d’un appareil médical dont le réglage précis, en fonction de paramètres spécifiques (bilan de santé, type de peau et pilosité) permet d’apporter au patient un traitement efficace.
Le laser émet un faisceau lumineux très intense de très faible diamètre, qui atteint le follicule pileux. La lumière émise par le laser est absorbée par la mélanine (le pigment du poil) et pulvérise le poil sans endommager la peau.

Le laser permet de supprimer définitivement plus de 85{c431b55d7872b22efe0b98c97b179fcedc8d04f61ae4055ccb696c21e7e00e3e} des poils, d’où son appellation d’épilation définitive. Les résultats sont en général visibles dès les premières séances.
Le laser est une technique qui peut traiter tous les types de peaux, de la plus blanche à la plus foncée. Pour une peau mate ou bronzée, il faudra utiliser un laser spécifique (laser Yag) dont tous les centres laser médicaux ne sont pas encore aujourd’hui équipés.

La lumière pulsée

La lumière pulsée a été proposée comme solution de rechange aux lasers car elle est beaucoup moins onéreuse à l’achat. Elle est beaucoup moins efficace que le traitement laser.
Aujourd’hui n’importe qui fait de la lumière pulsée mais la loi n’autorise que 2 méthodes d’épilation à des non-médecins : la pince ou la cire. Le laser et la lumière pulsée doivent obligatoirement être réalisés par des médecins.
L’épilation à la lumière pulsée est réalisée au moyen d’une “lampe flash” qui dispense de la lumière intense pulsée. Cette lumière supprime la pilosité en détruisant la mélanine.
Il s’agit d’une méthode d’épilation qui n’est pas définitive : le poil repousse au bout de 2 à 3 ans.
Les peaux foncées ne peuvent pas pratiquer cette technique à cause des risques de brûlures ou de décoloration de la peau.

En conclusion l’épilation au laser est une technique très efficace, plus professionnelle que la lumière pulsée.

Il est important de bien sélectionner son centre d’épilation et la technique qu’il propose. L
e mieux reste toujours de choisir un centre d’épilation médicalisé ce qui permet d’éviter les risques de brulures (mauvais réglage de la lampe flash) ou les risques sur la santé (en procédant à un bilan de santé préalable).

Epilation laser pour peau bronzée, foncée ou noire : laser YAG

Epilation laser pour peau bronzée, foncée ou noire : laser YAG

Epilation laser pour peau bronzée, foncée ou noire : laser Yag

Epilation laser pour peau bronzée, foncée ou noire : laser YAGL’ épilation laser définitive est impossible pour les personnes ayant naturellement la peau bronzée, foncée ou noire. Cette affirmation, largement répandue est pourtant totalement fausse.

Depuis presque 15 ans, la technologie laser permet une épilation laser définitive sur n’importe quel type de peau.

Epilation laser pour peau bronzée, foncée ou noire

Le mythe de l’impossibilité de pratiquer l’épilation au laser sur les peaux les plus foncées vient du fait qu’aux débuts de l’utilisation de cette technique d’élimination définitive des poils, les spécialistes étaient incapables de moduler les ondes produites par le laser. Et ce sont justement ces ondes qui sont responsables de la suppression totale des follicules pileux en s’attaquant à la mélanine présente dans le bulbe des poils.

Cette mélanine est ciblée par le laser grâce aux pigments foncés qu’elle contient donc sur une peau claire, pas de problème, les ondes se dirigent directement sur la racine du poil, mais, sur les peaux foncées, donc plus pigmentées, les ondes risquaient de se disperser en s’attaquant également à la mélanine de la peau, provoquant de forts risques de brûlures.

Des ondes capables de s’adapter à la coloration de la peau

Heureusement, ce n’est plus le cas car depuis 10 ans des chercheurs ont mis au point des ondes capables de s’adapter à la coloration de la peau. Ils ont notamment mis au point un système d’ondes longues pouvant cibler uniquement le bulbe du poil sans s’attaquer aux pigments de la peau même si celle-ci est foncée ou noire.

La technique du laser YAG

Cette technique est nommée le YAG, son efficacité est identique et la sécurité optimale, seul le nombre de séances nécessaires peut, dans certains cas, être plus élevé.
Attention cependant, comme pour n’importe quelle épilation laser définitive adressez-vous à des établissements réputés et sérieux, avec des médecins qui effectuent les séances lasers, la prestation sera probablement plus sure mais gardez à l’esprit qu’une épilation définitive à un prix très faible n’annonce rien de très rassurant.

Autre recommandation : ne vous exposez pas au soleil durant les trois semaines précédent une séance d’épilation laser, et ceci peu importe votre type de peau.



Enfin, il est indispensable de savoir que l’autre technique d’épilation utilisant la lumière pulsée (ou flash) n’est pas compatible avec les peaux foncées et les résultats ne sont pas durables, en effet après 10 séances de lumière pulsée environ 50{c431b55d7872b22efe0b98c97b179fcedc8d04f61ae4055ccb696c21e7e00e3e} des poils disparaissent alors qu’avec le laser on obtient 90{c431b55d7872b22efe0b98c97b179fcedc8d04f61ae4055ccb696c21e7e00e3e} de disparition de la pilosité après 5 séances .

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